Les News thérapeutiques

Les News thérapeutiques

14 décembre 2015 - 13 h 24 min
0 Comments

23 mars 2016

Univadis.fr

« Les AINS sont généralement utilisés comme traitement à court terme des épisodes de douleur liés à l’arthrose, parce que les effets secondaires surpassent les avantages lorsqu’ils sont utilisés à plus long terme. De ce fait, on prescrit souvent le paracétamol plutôt que les AINS pour prendre en charge la douleur à long terme. Cependant, nos résultats suggèrent que le paracétamol, quelle qu’en soit la dose, n’est pas efficace contre la douleur liée à l’arthrose, mais que certains AINS sont efficaces et peuvent être utilisés par intermittence sans paracétamol » a conclu M. Trelle.

http://www.univadis.fr/medical-news/53/Le-paracetamol-n-est-pas-efficace-comme-traitement-de-l-arthrose?utm_source=newsletter+email&utm_medium=email&utm_campaign=medical+update+-+daily+with+banner&utm_content=694960&utm_term=automated_daily

4 février 2016

InfoHighTech. com

La technologie des microbioréacteurs permet la création de tissus in vitro. Les chercheurs de l’Institut Fraunhofer de Potsdam ont mis au point un microbioréacteur capable de constituer un tissus hépatique sur lequel il serait possible de tester l'effet de molécule en temps réel en utilisant l'évolution de la consommation d'oxygène de ce tissus de laboratoire. Cette nouvelle technologie serait potentiellement plus fiable et plus rapide que le test sur l'animal.

Un microbioréacteur de cellules du foie en culture pourrait remplacer l’expérimentation animale

 

31 décembre 2015

RIS. World  by White - Tillet

L'ANSM donne un avis favorable pour l'octroi d'un AMM suite à la décision de l'EMA pour 9 nouvelles molécules et pour 6 extensions d'indications.

  • Deux médicaments pour le traitement du cancer bronchique non à petites cellules: Tagrisso (osertinib) et Portrazza (necitumumab);
  • un traitement de l'anémie consécutive à une maladie chronique du tube digestif: Feraccru (matol ferrique);
  • une molécule destiné au traitement de l'hyperuricémie Zurampic (lesinurad);
  • un vaccin hexavalent contre la diphtérie, le tétéanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'hépatite B et les infections invasives à haemophilus influenza B : Vaxelis;
  • une nouvelles molécules en comarketing pour le traitement et la prophylaxie des hémorragie des patients hémophiles Ibias et Kovaltry (octocog alfa);
  • Un générique de capsofungine traitement des infection fongiques et une dexaméthasone pour le traitement du myélome multiple.

On reçu un avis favorable pour une extension d'indications:

  • Brilique (ticagrelor), en association avec l’acide acétylsalicylique (AAS), dans la prévention des événements athérothrombotiques chez les patients adultes ayant des antécédents d’infarctus du myocarde et un risque élevé de développer un événement athérothrombotique.
  • Nplate (romiplastim) dans le traitement du purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI) chez les patients adultes, splénectomisés ou non, qui sont résistants aux autres traitements. 
  • Revolade (eltrombopag/eltrombopag olamine) dans le traitement du purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI) chez les patients adultes, splénectomisés ou non, qui sont résistants aux autres traitements.
  • Tarceva (erlotinib) dans le traitement de maintenance des formes localement avancées ou métastatiques du cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) chez les patients présentant des mutations activatrices de l’EGFR et une maladie stable après une première ligne de chimiothérapie.
  • Cyramza (ramucirumab) :En association avec le docetaxel dans le traitement des formes localement avancées ou métastatiques du cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) chez les patients adultes dont la maladie a progressé après une chimiothérapie à base de sels de platine ;
  • En association avec FOLFIRI (irinotecan, acide folinique et 5-fluorouracil) dans le traitement du cancer colorectal métastatique (CCRm) chez les patients adultes dont la maladie a progressé ou après une chimiothérapie par bevacizumab, oxaliplatine et fluoropyrimidine.

24 décembre 2015

Medscape. com

HTA en France : encore trop de monothérapies et trop de bêtabloquants

Cette année, l’étude FLASH a été menée auprès de 6379 français d’au moins 55 ans dont 1724 hypertendus traités disposaient d’un appareil d’automesure tensionnelle.

Les résultats révèlent que loin des 70% espérés, seuls 55 % des patients de plus de 55 ans possédant un appareil d'automesure sont contrôlés (<135/85 mm Hg). Le contrôle tensionnel est de 51% chez les hommes et de 60% chez les femmes, probablement en raison d’une meilleure observance chez ces dernières.

Concernant les stratégies thérapeutiques, 46% des patients reçoivent des monothérapies, 36 % des bithérapies, 14 % des trithérapies et 4% de quadrithérapies ou plus.

« Sur 10 ans, les monothérapies sont passées de 55 à 46%. En revanche, nous n’avons encore que 14% de trithérapies ! », a déploré le Dr Vaisse.

http://francais.medscape.com/voirarticle/3602029?nlid=94845_2401

Etude Flash 2015: http://www.comitehta.org/wp-content/uploads/downloads/2015/12/Flash-2015_Partiel.pdf

15 décembre 2015

Medscape.com

Une consommation quotidienne de café, ne dépassant pas 5 tasses ou 400mg de caféine, n'est pas associée à un risque à long terme sur la santé. Tel est l'avis du Comité consultatif en diététique du Département de la santé des Etats-Unis, qui a publié récemment ses dernières recommandations. S'appuyant sur une revue de la littérature, le comité considère même que les preuves sont suffisantes pour affirmer qu'une consommation modérée de café apporte une protection, notamment contre le diabète de type 2, les pathologies cardiovasculaires ou les maladies neurodégénératives.

L'absence de risque et les effets bénéfiques du café (et vraisemblablement du thé) est de plus en plus mis en évidence. Dans ce diaporama, Medscape revient sur les dernières données significatives portant sur diverses pathologies.

14 décembre 2015

Vancouver, Canada — Il existe un risque faible mais significatif de pancréatite aiguë avec les inhibiteurs de la dipeptyl peptidase-4 (DPP-4) ou « gliptines », selon une nouvelle méta-analyse des trois principaux essais cliniques sur cette classe d’antidiabétiques.

En revanche, les données colligées sont rassurantes sur les hospitalisations pour insuffisance cardiaque, la fonction rénale et le risque de cancer du pancréas sur une période d’au moins 3 ans, d’après les résultats présentés par le Dr Rury R. Holman (Directeur de l’unité des essais cliniques sur le diabète à l’université d’Oxford, Royaume-Uni) lors du World Diabetes Congress 2015 [1].

La méta-analyse collige les données des essais TECOS (Trial Evaluating cardiovascular Outcomes with Sitagliptin), SAVOR-TIMI 53 (Saxagliptin Assessment of Vascular Outcomes Recorded in Patients with Diabetes Mellitus) et EXAMINE (Examination of Cardiovascular Outcomes with Alogliptine versus Standard of Care in Patients with Type 2 Diabetes Mellitus and Acute Coronary Syndrome).

http://francais.medscape.com/voirarticle/3602005?nlid=93306_2401

Ethique : les médecins français se différencient

Une enquête d’opinion Mescape a été réalisée dans tous les pays européens et aux USA sur un échantillon de 21?531 médecins sur l’éthique médicale.

hippocrateLes médecins français ont des attitudes particulièrement spécifiques et différentes des médecins allemands ou européens. Les réponses des médecins américains démontrent une attitude plus «?transparente?» que leurs collègues européens et plus particulièrement français. C’est ainsi que les médecins français sont prêts à 43 % à relativiser au bénéfice du patient les risques d’une intervention. Leurs collègues américains ne sont que 10 % à imaginer pouvoir le faire.

En ce qui concerne la non-révélation d’une erreur médicale ayant une conséquence négative pour un patient, alors que 91 % des médecins américains s’y refusent catégoriquement. Leurs collègues français sont moins nombreux : 64 % (59 % pour les hommes et 76 % pour les femmes). La plupart du temps, la part de la réponse «?cela dépend?» avoisine les 20 %.

Il existe des différences marquées d’appréciation entre les médecins français, leurs collègues européens et américains. Les Français sont 37 % à penser que la décision d’arrêter des traitements qui maintiennent en vie est prise trop tôt, alors que les Européens ne sont que 25 % à l’estimer et les Américains 14 %. De même, 53 % des médecins français considèrent qu’il n’est pas juste de prodiguer des soins à un nouveau-né si les risques de séquelles occasionnent une qualité de vie très altérée, alors que 32 % des Européens et 26 % des Américains sont sur la même ligne. Alors que 77 % des médecins américains sont prêt à signaler qu’un de leur collègue ne peut pas exercer pour cause d’addictions (alcool, drogue) ou de maladie, ils ne sont que 28 % des médecins français à imaginer pouvoir le faire (46 % pour les Européens).

http://francais.medscape.com/features/diaporama/33000073?src=ban_int_stm_frm_ethics_report4_1115

Next Post Previous Post

Your email address will not be published.

La-lettre-du-CVAO-octobre-1
Le CVAO vous propose sa lettre d'information gratuite.

JE M'INSCRIS
recommandations
Le CVAO est une association dont les recommandations sont à la disposition des seuls acteurs de soins et des étudiants des professions de santé.

DEMANDER UN ACCÈS
WE-WANT-YOU
Le CVAO a besoin des expériences de tous les acteurs de soins.

ADHÉRER AU CVAO